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MANU GROS

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Manu Gros, référent culturel de la Provence sur Aix-En-Provence, nous offre un premier roman, audacieux s’il en est. Il propose au lecteur une plume gouailleuse, drôle, osée, et des personnages à la hauteur de ces adjectifs.
Préfacé par Jean-Paul Delfino et plébiscité par Alexandre Jardin qui nous a fait l’honneur de le lire et de nous écrire quelques phrases pour illustrer le bandeau de couverture, nous espérons que Tonton avait une ferme en Ukraine rencontrera le même succès auprès de vous tous.

 

« Un roman en pétard contre les « il faudrait » ! Une fricassée de personnages succulents ! Une explosion verbale ! Un écrivain éclaboussé de vie ! Interdit de vieillir en lisant ces pages ! Jubilez ! ».
Alexandre JARDIN

« Faire rire est un exercice d’un autre tonneau ! Il y faut de l’esprit, du recul. L’on doit s’être affranchi du politiquement correct, de la pudibonderie ambiante qui, chaque jour, gagne du terrain de façon insidieuse. Et, par-dessus tout, il faut aimer la littérature et son prochain, avoir de la tendresse pour notre monde bancal.
Manu Gros a suivi ce chemin. Pour son premier roman, il a réussi ce que d’autres osent simplement oser lorsque, les années passant, ils se rendent compte avec une certaine désolation qu’ils n’ont écrit que des œuvres sérieuses, documentées, de ces pavés que l’on ne peut lire que le front plissé par la réflexion et l’air sévère. Manu, lui, n’a pas voulu de ce pain-là. À chaque page, il a pris le risque de faire rire. Ses phrases tanguent entre l’argot et le littérairement abouti. Son intrigue, pourtant basée sur des faits réels, fait sauter les carcans de la raison raisonnable. Ses personnages prennent du plaisir à sortir du cadre, à venir tirer les moustaches du lecteur. Ici, tout est démesuré, incroyable, drolatique, rabelaisien, avec des touches de couleurs inspirées par Tex Avery, Audiard, Gotlib, une pointe de Chester Himes, un soupçon de Richard Brautigan, une larme du Magnifique avec Belmondo. Ça rue dans les brancards, ça boit, ça bâfre, ça s’engueule et ça se raccommode, ça crie, ça défouraille à tire-larigot, ça rêve et ça s’aime contre nature, ça tape dans les fourmilières à grands coups de rangers et surtout, avant tout, au-delà de tout, ça fait éclater de rire ! »
Jean-Paul DELFINO

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